Nicht jedermanns Geschmack wird die Glorifikationdes Kotes sein, die sich ein anonymer französischerVerfasser gestattet. In der „Ode ä la Merde, avec desnotes", par M. de Peressoncu (Pseudonym), Montpellier1807, läßt er sich, wie folgt, vernehmen:
Gourmands, qui des mets les plus rares
Goütez ä peine les douceurs;
Vous, de Flore amaleurs bizarres,
Et vom partisans des senteurs;
Sur vos delicieuses tables,
Dans vos parterres agreabl.es
Dans vos sultans, dans vos Sachets,
Fut-il jamais rien que n'efface, iaPar son Parfüm, son goüt, sa gr&ce, A \
Un ambigu d'Etrons lout frais?
Von ihm kann man die Verse der „Chezonomie" mitRecht anführen:
Et mangeanl de la merde avec un goüt extremeII semblait avaler une glace ä la-crime.(Er fraß mit Lust den Dreck vom Steiß,__ Als äße er das beste EisJ_